Le quatrième d'une longue série

Je suis le classique, le simple, le suivant ; une démonstration ne signifiant pas tout mon édifice. Je suis purement interprété, gouverné par l’universel, la communauté. Mes formes de vie élémentaires divergent par des variations, qui semblent même capable de s’en prendre à mon corps, à mourir. Serais-ce le hasard si elle vient à impliquer mes lettres ?

Elle veille au respect, n’est donc pas forcement violente, n’a rien qui entraîne une recherche d’équilibre dans toute cette existence (Je veux parler de […], comprenez-vous ?). Peut être qu’elle n’a rien à m’envier, quand on vit au milieu des maux, que l’on tend la nuisance, vu que l’on n’aurait pas tourmenté l’envie. Un exercice de pouvoir, voilà, une opposition à mon totalitarisme morale, affirmer contre la désintégration de mon état, la gloire habituelle et grossière de mon espèce.

[…]

Elle s’imagine avec une profonde brutalité, mais sait moins pour effrayer. Cela deviens hautement significatif, mais elle ne les invente pas : elle les supprime (Je veux parler de […], comprenez-vous ?). Quelle manière originale le sentiment d’appartenir à sa nauséabonde identité, et paradoxalement, à son entrée j’eu été. Cela ne peut que me renforcer, même parmi les démons (Je veux parler de […], comprenez-vous ?).

           En revanche, depuis longtemps, le métier par l’ouverture de son apprentissage est un écart aux portes, comme les autres, et les préjugés en découlent, connues de tous et y règnent librement. C’est vu et partant, un œil qui louche devant la clarté de l’aurore, mais ces événements sont uniquement produits par ce que j’appelle un art de vivre. Et il est fait, puis sera (Je veux parler de […], comprenez-vous ?).