28 juillet 2008
Le vingt-deuxième d'une longue série
Rien ne me chagrinne quand toi m'obstroit l'esprit. Ta douce chaleur, ma jolie, d'un superbe... d'un naturel! Ne m'émoit que ta splendeur, et puis sois mon bonheur.Puissent mes pensées être justes, et de là me confesser au Démon, le chérir de toutes mes...