Le huitième d'une longue série

Au plus fort de la passion, comme le but véritable, ce fut ce chemin pavé où je n’entreprendrai pas de me jeter dans des lamentations futiles, réveillant mon propre désespoir, mais dévorer la cache de l’animal et le plus beau fruit de la Terre.

Comment ne pas crier, même à genoux, quand mon courage se plie autant que mon corps ; comment ne pas être terrorisé par ce qu’elle dit ; comment saurais-je me redresser et regarder au loin, par-dessus mes peines les plus fortes ? Dois-je posséder la foi en la Trinité, prévenir mes fautes et exalter la mort morale de tous êtres aimés et aimants ?

Dois-je savoir distinguer le savoir, le mensonge polymorphe, l’icosaèdre des paroles et des visages humains dont les explications, inhérentes aux diverses maîtrises de mes sentiments, ne seraient entretenues que par une vision abstraite de l’amour ?

[…]

Que l’on m’accorde seulement le Pardon, le Meilleur, […]